Depuis tout petit, j'ai toujours été bon dormeur.
Je n'ai jamais eu de difficulté pour m'endormir, je n'ai jamais pris de somnifère de ma vie et il ne me faut même pas 2 minutes pour me plonger dans un sommeil profond.
Vu comme ça, tu te dis peut-être...
"T'as de la chance de dormir si rapidement, j'aimerais bien être à ta place."
Sans vouloir me la péter, j'aurais pu te répondre "Ooooh oui ! J'ai vraiment beaucoup de chance." avec un sourire aussi grand qu'une banane.
Malheureusement, c'est très loin d'être le cas, car depuis toujours, j'ai des difficultés à me réveiller.
Et ce parce que j'adore rêver et voyager dans un monde imaginaire créé de toute pièce.
Alors bien sûr, il n'y a rien de mal à vouloir rêver dans son sommeil, c'est une bonne chose de rêver et je crois sincèrement que rêver est essentiel dans notre vie.
Le problème, c'est que ça m'a poussé à devenir un gros dormeur.
Je dormais régulièrement entre 9h et 11 h/jour, parfois 12 heures. Je faisais souvent la grasse matinée jusqu'à midi avant de me décider à sortir du lit pour de bon.
Je ne te raconte même pas comment il fallait s'y prendre pour réussir à me réveiller, car sinon, tu risques de veiller comme un hibou toute la nuit. 
En bref, je dormais beaucoup et j'avais du mal à me réveiller le matin.
À cause de ça, mes journées duraient en moyenne 12 heures et se terminaient beaucoup trop vite pour que je puisse accomplir tout ce que je souhaitais faire.
Encore en début 2018, j'étais limité dans ce que je pouvais faire, je devais sans cesse renoncer à certaines tâches que j'avais prévues au départ pour arriver à atteindre mes objectifs quotidiens.
Au fond de moi, même si j'arrivais à atteindre mes objectifs de la journée, le manque de temps me faisait culpabiliser de plus en plus.
Car je voulais faire plus de choses, comme lire des (longs) articles de blog, faire des recherches plus poussées, améliorer mon positionnement, suivre des formations, tester de nouveaux systèmes, discuter avec les gens, lire des livres ou encore faire du sport et profiter de mon voyage.
Chose que je faisais très rarement en mars 2018.
Je désirais profondément développer mes compétences, notamment apprendre...
- L'anglais
- Le marketing
- La productivité
- La créativité
- La psychologie
- La création de contenus
- La création de sites web
- L'investissement
- Etc.
Et si en ce moment, tu montes une activité sur Internet, alors tu peux comprendre pourquoi c'est important d'affiner ses compétences, et ce aussi souvent que possible.
Ce que je voulais par-dessus tout, c'était de vivre des journées plus longues en passant moins de temps à dormir et à faire la grasse matinée, choses qui m'énervaient plus que tout au monde.
C'est à partir de ce moment-là que je me suis intéressé au sommeil polyphasique.
J'ai commencé par revoir l'interview de Steve Pavlina et son blog, je suis aussi tombé sur quelques articles de Damien Fauché et Christopher Lieberherr.
Avec le strict minimum de ce que j'ai pu trouver, j'ai commencé le sommeil polyphasique avec le couteau entre les dents, tout en apprenant davantage sur le sujet au fur et à mesure du temps.
Au début du mois d'avril en 2018, je me suis mis à dormir 6h30/jour, soit 4 heures de moins que d'habitude.
En gros, je dormais 6 heures la nuit et je faisais une sieste de 30 minutes à partir de 13h00.
Ce qui m'a le plus surpris, c'est que je n'étais pas du tout fatigué, même en dormant moins que d'habitude, j'avais bien plus d'énergie pendant la journée.
C'était pour moi une révélation totale, comme si j'avais découvert le feu !
Ça m'a permis de gagner 4 heures de temps libre d'un coup, assez pour reprendre les formations, la lecture et un peu de sport tous les jours.
Bref, j'étais content de reprendre certaines activités qui me tenaient à coeur.
À partir du mois de juin (en 2018), j'ai commencé à dormir 5h/jour.
En pratique, je dormais 4 heures et demie pendant la nuit et je faisais toujours une petite sieste de 30 minutes à partir de 13h00.
À ce moment-là, je ne me sens pas du tout fatigué, même après avoir réduit mon sommeil de 50 %.
Je gagne donc une heure et 30 minutes de plus dans mes journées afin de tester des idées, des concepts, des techniques et autres systèmes controversés que je trouvais fascinants.
Tout en profitant de mon voyage pendant l'après-midi.
Au milieu du mois d'août (en 2018), je me suis mis à dormir 3h50/jour.
C'est-à-dire, 3h30 de sommeil la nuit et une sieste de 20 minutes.
Ce qui m'a permis de me libérer du temps pour me former davantage et développer mes compétences pour mes projets business.
Puis, le 8 septembre 2018, j'ai commencé à dormir 2h/jour en mode Uberman.
Et là, je vivais des journées de 22 heures, tout en ayant réduit mon temps de sommeil de 87,50 %.
À ce stade, j'ai découvert une nouvelle façon de voir le temps, je me suis remis à apprendre l'anglais (une compétence fondamentale pour le business) et je suis arrivé à me libérer tellement de temps libres que je ne savais plus quoi en faire.
Le 30 octobre 2018, je suis passé du Uberman au Dymaxion.
J'ai même fait une vidéo sur ma chaîne, notamment pour te partager comment je pratiquais le Dymaxion et qu'est-ce que j'avais pu en retirer pendant 2 mois de pratique.
C'est à ce moment-là que j'ai commencé à faire des vidéos sur le sommeil polyphasique, à me former davantage sur le sujet et à rejoindre des communautés qui pratiquaient plus ou moins le sommeil polyphasique.
Depuis, je continue de pratiquer le sommeil polyphasique, j'ai pratiqué le Dymaxion pendant 6 mois en mode hardcore avant de passer à un autre cycle.
Et maintenant, je suis sur un Everyman 3 et j'espère continuer encore longtemps.
Tu as peut-être dû le remarquer, quand tu t'intéresses au sommeil polyphasique et que tu te mets à le pratiquer, quelques jours après, tu as l'impression d'être fatigué.
Comme si tu n'avais pas dormi pendant des jours.
À ce stade, tu te poses un tas de questions, tu te demandes si ce n'est pas à cause du sommeil polyphasique si tu es fatigué et que tu devrais tout arrêter dès maintenant.
Toutefois, tu fais quelques recherches pour voir si tu n'es pas le seul à avoir ce problème, tu essayes d'en parler avec d'autres personnes qui pratiquent le sommeil polyphasique depuis plus longtemps que toi.
Mais tu n'arrives pas à trouver des réponses satisfaisantes.
Du coup, tu envisages plus ou moins d'arrêter le sommeil polyphasique, même si ça ne te donne pas envie de remettre à dormir 9 heures/jour comme avant.
Si en ce moment, tu as du mal à pratiquer le sommeil polyphasique, laisse-moi te dire que ce n'est pas la fatigue qui rend le sommeil polyphasique si difficile à pratiquer.
Tu sais pourquoi ?
Parce que le problème avec le sommeil polyphasique, c'est qu'il existe très peu de ressource pour le mettre en application.
Alors oui, il existe pas mal de ressources américaines qui te présentent le sommeil polyphasique, ainsi que les différents cycles de sommeil polyphasique et la phase d'adaptation.
Mais ça s'arrête là.
On te parle rarement de l'aspect pratique du sommeil polyphasique, notamment l'organisation, la gestion de l'énergie, l'alimentation, la façon de dormir, etc.
Et ça, c'est un gros problème.
Car il te manque des éléments essentiels pour pratiquer le sommeil polyphasique de façon optimale, sans te transformer en zombie.
De la même manière qu'une voiture ne peut pas rouler sans les roues, tu ne peux pas pratiquer le sommeil polyphasique et te sentir en forme s'il te manque l'aspect pratique.
C'est pourquoi j'ai créé cette formation que j'ai appelée : Le Guide Ultime du Sommeil Polyphasique
Où j'ai rassemblé tout ce que tu as besoin de savoir pour démarrer le sommeil polyphasique, te libérer du temps libre, avancer sur tes projets personnels et surtout, devenir plus productif.